En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
LeMuslimPostLeMuslimPost
Notification Afficher plus
Actualités
À la FFF, on confond laïcité et vivre-ensemble
A la une Actualité Société
À Échirolles, le RN passe de la parole aux actes
A la une Actualité Société
Conversion à l’islam : au-delà des préjugés, une étude interroge les femmes concernées
A la une Actualité Société
Comment le RN drague l’électorat musulman
A la une Actualité Politique
Décaler le Ramadan pour les Bleus musulmans, bonne ou mauvaise idée ?
A la une Actualité Société
Aa
  • Accueil
  • A la une
    A la uneAfficher plus
    À la FFF, on confond laïcité et vivre-ensemble
    1 avril 2023
    À Échirolles, le RN passe de la parole aux actes
    31 mars 2023
    Conversion à l’islam : au-delà des préjugés, une étude interroge les femmes concernées
    30 mars 2023
    Comment le RN drague l’électorat musulman
    24 mars 2023
    Décaler le Ramadan pour les Bleus musulmans, bonne ou mauvaise idée ?
    23 mars 2023
  • Actualité
    ActualitéAfficher plus
    À la FFF, on confond laïcité et vivre-ensemble
    1 avril 2023
    À Échirolles, le RN passe de la parole aux actes
    31 mars 2023
    Conversion à l’islam : au-delà des préjugés, une étude interroge les femmes concernées
    30 mars 2023
    Comment le RN drague l’électorat musulman
    24 mars 2023
    Décaler le Ramadan pour les Bleus musulmans, bonne ou mauvaise idée ?
    23 mars 2023
  • International
    InternationalAfficher plus
    Décorations, rupture du jeûne… L’exemple du Royaume-Uni
    22 mars 2023
    Lutte contre l’islamophobie : si seulement l’ONU était écoutée
    15 mars 2023
    Arabie saoudite-Iran : les vrais Accords d’Abraham ?
    10 mars 2023
    Elon Musk et l’imaginaire racisme anti-Blancs
    2 mars 2023
    Israël veut remettre la peine de mort au goût du jour
    28 février 2023
  • Politique
    PolitiqueAfficher plus
    Comment le RN drague l’électorat musulman
    24 mars 2023
    Eric Zemmour, relaxé mais pas vraiment relax
    22 février 2023
    À quoi sert réellement le Forif ?
    16 février 2023
    Giroud ne veut plus être récupéré par les racistes
    15 décembre 2022
    Eric Ciotti en voyage en Israël
    Avec Ciotti, la droite se droitise encore
    5 décembre 2022
  • Société
    SociétéAfficher plus
    À la FFF, on confond laïcité et vivre-ensemble
    1 avril 2023
    À Échirolles, le RN passe de la parole aux actes
    31 mars 2023
    Conversion à l’islam : au-delà des préjugés, une étude interroge les femmes concernées
    30 mars 2023
    Décaler le Ramadan pour les Bleus musulmans, bonne ou mauvaise idée ?
    23 mars 2023
    Ramadan : supermarchés, consommation et produits halal
    En pleine crise, à quel Ramadan faut-il s’attendre ?
    21 mars 2023
En train de lire: Libye: Alger et Tunis s’activent pour une solution politique
Partager
Aa
LeMuslimPostLeMuslimPost
  • Accueil
  • A la une
  • Actualité
  • International
  • Politique
  • Société
Search
  • Accueil
  • A la une
  • Actualité
  • International
  • Politique
  • Société
Vous avez un compte existant ? S\'identifier
Suivez-nous
LeMuslimPost > Blog > Live Post > Libye: Alger et Tunis s’activent pour une solution politique
Live Post

Libye: Alger et Tunis s’activent pour une solution politique

Radaction
Dernière mise à jour: 2020/01/10 at 10:40
Radaction Publié 10 janvier 2020
Partager
Partager

Alger et Tunis, qui se concertent sur le dossier libyen, ont les mêmes préoccupations sécuritaires. La première partage près de 1.000 km de frontière avec la Libye, la deuxième 450 km.

Sur fond de ballet diplomatique intense, Alger exhorte la communauté internationale, en particulier l’ONU, à « prendre ses responsabilités » pour « imposer un cessez-le-feu immédiat et mettre fin à l’escalade militaire » en Libye.

Depuis la récente décision de la Turquie de déployer des troupes en Libye, la diplomatie algérienne multiplie les consultations en vue d’un apaisement de la crise qui menace de s’internationaliser.

Confrontée depuis près d’un an à un important mouvement de contestation populaire, « l’Algérie cherche surtout à préserver sa propre stabilité », analyse Karim Bitar, directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris) de Paris.

« L’Algérie n’a pas intérêt à se retrouver prise au cœur de cette guerre par procuration » en Libye, observe ce spécialiste du Moyen-Orient.

En reconnaissance de son rôle régional, l’Algérie, discrète sur la scène internationale depuis l’AVC en 2013 de l’ex-président Abdelaziz Bouteflika, a été officiellement invitée à la conférence internationale prévue prochainement à Berlin pour tenter d’aboutir à un règlement politique sous l’égide des Nations Unies.

 Non-ingérence

Plongée dans le chaos depuis la chute de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye est aujourd’hui déchirée entre deux autorités: le gouvernement d’union nationale libyen (GNA), reconnu par l’ONU et basé à Tripoli, et un pouvoir incarné par le maréchal Khalifa Haftar dans l’Est.

Le GNA de Fayez al-Sarraj a l’appui de la Turquie, tandis que le maréchal Haftar peut compter sur le soutien de l’Arabie saoudite, de l’Egypte et des Emirats arabes unis, rivaux régionaux d’Ankara.

Depuis avril, le GNA fait face à une offensive sur Tripoli du maréchal Haftar, chef de l’Armée nationale libyenne (ANL).

Ce dernier s’est emparé lundi de Syrte, verrou stratégique entre l’est et l’ouest de la Libye. Jeudi, le maréchal Haftar a salué l’appel au cessez-le-feu lancé par Ankara et Moscou, mais annoncé la poursuite de ses opérations militaires contre les forces pro-GNA.

Pour l’Algérie, qui rejette « toute ingérence étrangère » en Libye, Tripoli est une « ligne rouge à ne pas franchir ». Elle plaide pour « un retour rapide au processus du dialogue national inclusif ».

Les priorités de la nouvelle équipe dirigeante à Alger sont claires: « refus de toute intervention étrangère, renforcement de la sécurité aux frontières, réaffirmation de la souveraineté du GNA et de la légitimité de Fayez al-Sarraj », reçu régulièrement à Alger, détaille le journaliste algérien Akram Kharief, expert des questions de défense.

« Les Algériens sont contre la guerre de Haftar pour Tripoli parce qu’ils sont profondément convaincus que le maréchal ne peut pas la finir », explique à l’AFP le chercheur algérien Jalel Harchaoui, spécialiste de la Libye à l’Institut Clingendael de La Haye.

« Ils pensent qu’il s’agit d’une guerre urbaine ingagnable et sans fin, ce qui veut dire une crise humanitaire grandissante et des vagues de déplacés pouvant affecter la Tunisie et l’Algérie, sans oublier le risque d’une recrudescence du fléau terroriste », souligne-t-il.

Vous pourriez aussi aimer

Le reportage de Zone Interdite, une production mensongère

Israël en quête de légitimité au sein de l’Union africaine

Mobilisation des Hijabeuses contre l’amendement du Sénat

Le Canada célèbre la première Journée nationale de commémoration de l’attentat à la mosquée de Québec

Radaction 10 janvier 2020
Partagez cet article
Facebook Twitter Email Print
LeMuslimPostLeMuslimPost
Suivez-nous

©2022 - LeMuslimPost. All Rights Reserved.

  • TENDANCE
  • ISLAMOPHOBIE
  • PALESTINE
  • HALAL

Supprimé de la liste de lecture

Annuler