En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
LeMuslimPostLeMuslimPost
Notification Afficher plus
Actualités
Le halal fait trembler la grande distribution
A la une Actualité Société
Macron : c’est donc ça, le barrage contre l’extrême droite ?
A la une Actualité Politique
Persécutions des musulmans : la Chine ne peut plus se cacher derrière l’indépendantisme
A la une Actualité International
Kemal Kiliçdaroglu ou les fantasmes de la presse française
A la une Actualité International
Non, ficher des musulmans n’est pas une « maladresse »
A la une Actualité Société
Aa
  • Accueil
  • A la une
    A la uneAfficher plus
    Le halal fait trembler la grande distribution
    5 juin 2023
    Macron : c’est donc ça, le barrage contre l’extrême droite ?
    31 mai 2023
    Persécutions des musulmans : la Chine ne peut plus se cacher derrière l’indépendantisme
    31 mai 2023
    Kemal Kiliçdaroglu ou les fantasmes de la presse française
    29 mai 2023
    Non, ficher des musulmans n’est pas une « maladresse »
    25 mai 2023
  • Actualité
    ActualitéAfficher plus
    Le halal fait trembler la grande distribution
    5 juin 2023
    Macron : c’est donc ça, le barrage contre l’extrême droite ?
    31 mai 2023
    Persécutions des musulmans : la Chine ne peut plus se cacher derrière l’indépendantisme
    31 mai 2023
    Kemal Kiliçdaroglu ou les fantasmes de la presse française
    29 mai 2023
    Non, ficher des musulmans n’est pas une « maladresse »
    25 mai 2023
  • International
    InternationalAfficher plus
    Persécutions des musulmans : la Chine ne peut plus se cacher derrière l’indépendantisme
    31 mai 2023
    Kemal Kiliçdaroglu ou les fantasmes de la presse française
    29 mai 2023
    Pourquoi la police israélienne ne fait-elle pas respecter le droit à al-Aqsa ?
    19 mai 2023
    Le premier ministre indien.
    En Inde, l’islamophobie jusque dans les manuels scolaires
    8 mai 2023
    Pourquoi la NUPES a raison de vouloir qualifier le régime israélien d’« apartheid »
    4 mai 2023
  • Politique
    PolitiqueAfficher plus
    Macron : c’est donc ça, le barrage contre l’extrême droite ?
    31 mai 2023
    Gérald Darmanin : non au halal, oui aux tacos !
    13 mai 2023
    Atteintes à la laïcité à l’école : Pap Ndiaye doit rendre des comptes
    11 mai 2023
    Le Fonds Marianne, un fonds pour financer les islamophobes ?
    24 avril 2023
    Non, le gouvernement ne va pas faire diversion en « tapant » sur les musulmans
    20 avril 2023
  • Société
    SociétéAfficher plus
    Le halal fait trembler la grande distribution
    5 juin 2023
    Non, ficher des musulmans n’est pas une « maladresse »
    25 mai 2023
    Les influenceurs musulmans ou l’avènement de « l’islam tranquillou »
    10 mai 2023
    En France, les fascistes peuvent manifester
    9 mai 2023
    Après « Cheikh Google », l’IA arrive pour enseigner les religions ?
    2 mai 2023
En train de lire: L’extrême droite espagnole, anti-islam, aux portes du parlement ?
Partager
Aa
LeMuslimPostLeMuslimPost
  • Accueil
  • A la une
  • Actualité
  • International
  • Politique
  • Société
Search
  • Accueil
  • A la une
  • Actualité
  • International
  • Politique
  • Société
Vous avez un compte existant ? S\'identifier
Suivez-nous
LeMuslimPost > Blog > International > L’extrême droite espagnole, anti-islam, aux portes du parlement ?
International

L’extrême droite espagnole, anti-islam, aux portes du parlement ?

Rédaction LMP
Dernière mise à jour: 2019/04/25 at 9:58
Rédaction LMP Publié 25 avril 2019
Partager
Santiago Abascal (R), leader of Spain's far-right party VOX, and VOX leader for the Andalusia region, Francisco Serrano, give a press conference after Andalusia regional election results in Sevilla on December 3, 2018. - A far-right party won seats in a Spanish regional parliament for the first time since the country returned to democracy following the death of longtime dictator Francisco Franco in 1975, results in Andalusia's election showed. With more than 99 percent of the votes counted late Sunday, the small Vox party took 12 seats, handing a majority to right-wing parties in the southern Spanish region governed by the Socialists for more than three decades. (Photo by JORGE GUERRERO / AFP)
Partager

Il y a moins de six mois, l’Espagne était l’un des rares pays européens où l’extrême droite était absente du paysage. Mais tout a changé depuis le séisme provoqué par Vox en décembre en Andalousie.

Obtenant 12 députés régionaux, la formation ultra-nationaliste a permis aux conservateurs du Parti populaire (PP) et aux libéraux de Ciudadanos de prendre le pouvoir dans ce fief socialiste.

Et Vox espère désormais rééditer cette performance au niveau national.

« Vox a réussi à réveiller l’espoir de nombreuses personnes qui (…) ne se sentaient pas représentées », a déclaré mercredi son leader Santiago Abascal, ancien militant du PP au Pays basque. « Une Espagne silencieuse » qui va, selon lui, « renverser » la situation dimanche.

Se méfiant des médias traditionnels, Vox a choisi de faire campagne massivement sur les réseaux sociaux, s’inspirant de la stratégie des présidents américain Donald Trump et brésilien Jair Bolsonaro.

Les sondages créditent Vox de plus de 10% des voix et d’une trentaine de sièges sur 350. Evoquée pendant plusieurs mois par des sondages, une majorité PP-Ciudadanos-Vox au niveau national semble finalement improbable, selon les dernières enquêtes .

« Crise identitaire »

Fondé en 2013, Vox a prospéré sur sa virulence à l’égard des indépendantistes catalans qui ont tenté en octobre 2017 de faire sécession.

« Vox est une réponse à ce qui faisait tant rire une grande partie des Espagnols avant la rébellion catalane: que l’Espagne se brise », souligne John Müller, coordinateur du livre « La surprise Vox ».

Prônant l’interdiction des partis séparatistes, Vox veut recentraliser l’Espagne et chasser du pouvoir le socialiste Pedro Sanchez, qualifié d' »ennemi de l’Espagne » pour s’être hissé à la tête du gouvernement en juin grâce aux voix de la gauche radicale et des séparatistes catalans.

Avec la bénédiction de Steve Bannon, l’ancien conseiller de Donald Trump, le parti tient aussi un discours très dur sur l’immigration, l’islam ou les féministes et a rompu le consensus autour de la loi contre les violences sexistes en affirmant qu’elle « criminalise » les hommes.

Vox, qui compte parmi ses candidats des généraux à la retraite défenseurs du franquisme, s’oppose également au mariage homosexuel, à l’euthanasie ou à l’avortement.

Pour Jorge del Palacio, professeur d’histoire des idées politiques à l’université Rey Juan Carlos de Madrid, Vox « est capable de capitaliser (sur la colère des gens) parce que la crise est identitaire » quand Podemos avait été capable de le faire lors des élections de 2015 et 2016 car « la crise était économique ».

Parmi ses cibles prioritaires, figurent les chasseurs et le monde rural. Le parti, fervent défenseur par ailleurs de la corrida, a eu son stand -et une pluie d’éloges- lors d’un récent salon de la chasse à Madrid.

« Vox est un parti qui monte car il s’adresse au coeur des traditions », a déclaré à l’AFP Angel Lopez Maraver, président de la fédération espagnole des chasseurs et candidat du parti aux européennes. Mais « ils ont tout à prouver ».

Déçus par droite et gauche

Vox, dont des dirigeants et nombre de sympathisants viennent du PP, veut aussi séduire les déçus de la gauche comme David Garcia, dirigeant du parti à San Vicente del Raspeig près d’Alicante (sud-est).

« Nous avons travaillé toute notre vie. Ça, ce ne sont pas des mains de politicien », dit, en montrant ses mains calleuses, cet ancien électeur socialiste de 38 ans qui a travaillé depuis ses 16 ans comme vigile, responsable de logistique ou ouvrier agricole.

Adela Marquez, chômeuse de 43 ans et victime de violences conjugales, milite à ses côtés. Ancienne sympathisante de Podemos, elle affirme avoir connu « des femmes qui font de fausses plaintes » pour violences, ce qui « fait beaucoup de mal à nous qui avons été maltraitées ».

Un argument phare de Vox dénoncé par l’ensemble de la classe politique et balayé par la justice espagnole. Mais, pour John Müller, ces critiques renforcent un parti qui profite du « ras-le-bol » des électeurs vis-à-vis des partis traditionnels.

Vous pourriez aussi aimer

Persécutions des musulmans : la Chine ne peut plus se cacher derrière l’indépendantisme

Kemal Kiliçdaroglu ou les fantasmes de la presse française

Pourquoi la police israélienne ne fait-elle pas respecter le droit à al-Aqsa ?

En Inde, l’islamophobie jusque dans les manuels scolaires

Rédaction LMP 25 avril 2019
Partagez cet article
Facebook Twitter Email Print
LeMuslimPostLeMuslimPost
Suivez-nous

©2022 - LeMuslimPost. All Rights Reserved.

  • TENDANCE
  • ISLAMOPHOBIE
  • PALESTINE
  • HALAL

Supprimé de la liste de lecture

Annuler